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panoramique sur Foix et l'entrée de la Barguilière
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21 Novembre 1995.
Clichés pris du chemin de Mingou. Point de vue révélateur de l'expansion
pavillonnaire récente, depuis les années 1970.
On peut suivre également, en arrière plan, la revégétalisation des
versants calcaires du St-Sauveur.
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Foix, vue vers le château depuis la route de Pradières.
A noter, au premier plan à droite, une des parcelles de vignes et vergers qui abondaient autour de Foix jusqu'au début du XX° siècle.
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5 février 1996.
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Le champs de foire, vers 1910.
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25 février 1996. (Cliché à reprendre un jour de marché!)
Le champ de foire montre aujourd'hui une juxtaposition de la plupart des styles architecturaux du XX° siècle.
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Usines métallurgiques du Moulinéry (Planissoles) vers 1910.
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25 février 1996.
Le point de vue exact est décalé en raison de la croissance des arbres
en bordure de l'Arget, mais le site et les vestiges des anciennes
usines métallurgiques sont encore bien reconnnaissables.
Il ne s'agissait pas d'une forge dite "à la catalane", de transformation
du minerai, mais d'une usine de travail du fer, qui était particuièrement
renommée pour la fabrication des faux. Elle fonctionna jusque dans
les années 1960. C'est un exemple de l'ancien paysage de l'industrie
métallurgique, qui fut une des caractéristiques du pays de Foix et
de la haute Ariège jusqu'à la fin du XIX° siècle. Les dernières forges
fermèrent en 1884 et seuls les établissements de transformation (martinets,
clouteries, etc.) perdurèrent, jusque dans les années 1960. Les documents
sur le paysage métallurgique ne sont pas rares, qu'ils s'agissent
de vues de petits établissements ou des hauts fourneaux de Pamiers
ou Tarascon .
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vallée de la Barguilière vue de Ganac ;
hameau de Lacassagne. vers 1910.
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août 1988.
(Site prolongeant vers l'ouest la vue vers St Pierre-de-Rivière).
Evolution caractéristique du paysage des plaines et coteaux autour
de Foix
urbanisation pavillonnaire diffuse, disparition des haies bocagères
émondées et du petit parcellaire, extension des bosquets (plantations
d'acacia).
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Celles (près de St-Paul-de-Jarrat), vers 1910.
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août 1983.
Le paysage présente une dynamique assez caractéristique des basses
soulanes du front montagnard (vers 500-600m)
enfrichement presque total des terroirs de cultures sèches et de de
vergers, épaississement des taillis de chêne, tracé de piste. A noter
la curieuse persistance d'une linéarité , le remplacement des vignes
par une plantation de résineux. Le vieux centre villageois ne change
pas, mais quelques extensions pavillonnaires se trouvent hors cadre.
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Col des Marous, vu depuis la route, au-dessus de la Cabirole.
Cl. A. Pécun, 1916. Coll. GEODE. (lieu exact en contrebas du hameau
de Fierrioulet)
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septembre 1984.
La soulane de la Cabirole (Le Bosc, en haute Barguilière) culmine
ici vers 1000 mètres. Le cliché originel montre un paysage agricole,
de terrasses de cultures, qui a perduré jusque dans les années 1930
; il s'accompagnait de prairies de fauche dans le bas du versant et
dans les pâturages des croupes sommitales. L'enfrichement spontané
par le bouleau et le frêne a presque totalement fait disparaître les
terrasses en une cinquantaine d'années, tandis que les pâturages du
sommet sont actuellement stabilisés en lande à fougère. Cette zone
du front montagnard humide est caractéristique d'un enfrichement à
dynamique rapide, avec des essences plus montagnardes qu'à Celles.
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